AUDREY LUCIE
Représentations avec Covid Safe Ticket : 1er, 4 et 5 février
Représentation sans Covid Safe Ticket : les 2 et 3 février
Dans un futur proche, la technologie permet de télécharger sa conscience dans une Intelligence Artificielle pour y vivre éternellement. AUDREY LUCIE sera le premier être à entrer dans le SNURB (Soul Negentropic Utility for ReBirth). Avec l'aide de son opérateur ANUBIS, elle se prépare à dire adieu à son corps.
- Concept et mise en scène
- Oriane Varak
- Création et interprétation
- Audrey Lucie Riesen et Guillaume Le Boisselier
- Musique
- I AM THE MINOTAUR
- Création lumières
- Jef Philips
- Scénographie, costumes et accessoires
- Julie Chapallaz
- Accompagnement dramaturgique
- Olivier Hespel
- Coaching physique
- Areti Chourdaki
- Collaboration artistique
- Guillaume Le Boisselier
- Assistante réalisation
- Élodie Huré
- Regards extérieurs
- Areti Chourdaki, Audrey Dero
- Coproduction et production déléguée
- Théâtre la Balsamine
- Soutiens
- Fédération Wallonie-Bruxelles, Service Général de la Création Artistique - Service de la Danse, Grand Studio et Bourse SACD
- Remerciements
- Gwen Laroche, Odile Dubucq / Varia, In Limbo, Nathalie Salamero et l’Atelier Peinture de la Monnaie, Nicolas Sanchez et Mina Millienos / Océan Nord
Plus d'info sur la notch company
Formée à Bruxelles en 2013, notch company est une compagnie transdisciplinaire. Le travail qu’elle développe au plateau avec des danseurs·ses se construit autour de textes, d’images ou d’atmosphères qui viennent nourrir et préciser les imaginaires de chacun·e. Souvent, la contrainte physique est prégnante dans la qualité de mouvements recherchée. Notch signifie « brèche » ou « entaille » en anglais. Notch est ainsi cette brèche nécessaire pour voir à travers, pour entamer un processus de création comme un passage d’une réalité vers une autre. Les créations : As a Mother of fact (2018), Arcane Majeur - how to make decisions, solo de danse interrogeant la notion de prise de décision et de chaos. (2019)
Certains soirs, les représentations seront suivies d'un échange avec le public, mené en collaboration avec l'équipe artistique, l’équipe du théâtre et des intervenantes extérieures :
Mercredi 2 février
Julie Foulon, entrepreneure dans le domaine des nouvelles technologies, fondatrice de Girleek, entreprise proposant des formations pour les outils du numériques. Pour en savoir plus sur girleek
Jeudi 3 février
After show : rencontre avec l'équipe artistique menée par une autre artiste de la saison choisie par Oriane Varak : Françoise Berlanger, auteure et metteure en scène du spectacle Les lianes programmé en novembre à la Balsamine.
Vendredi 4 février
La Satellite avec Luz de Amor, Beth Gordon et Astrid Vandercamere. La satellite est une collective curatoriale travaillant sur les questions queer et les féminismes intersectionnels dans la science-fiction contemporaine.
Luz de Amor est diplômé.e des Beaux-Art de Bordeaux, écrivainl, narratologue et artiviste. Iel est personnage, théoricien·ne et performeureuse de fictions queers. Luz négocie dans son travail avec son propre vécu, ce qui se joue autour d'iel et les écarts ou rencontres entre les deux. Eul fait des noeuds pour construire des expériences communes au sein de ses fictions. Læ lire, c'est projeter des soi potentiels et croire - comme en un tirage de tarot - en leur apparition. Plus d'infos
Beth Gordon est une artiste membre de la collective moilesautresart aux côtés de Cathie Bagoris et Lila Rétif. La pratique de moilesautresart inclut des textes, des actions performatives, des films, des publications, des projets curatoriaux et parfois des formes hybrides mêlant ces différents médias. Plus d'infos
Astrid Vandercamere est diplômée du DNSEP Art à l’EESAB Rennes, actuellement en master MULTI à L’ARBA-ESA de Bruxelles. À travers un travail polymorphe qui convoque tant la peinture que la vidéo, l’installation et l’édition, elle tente de questionner les références culturelles qui l’ont construite comme des matériaux plastiques à transformer, à modeler et à réinvestir dans une production qui emprunte autant à l’imaginaire SF, à la notion de lieux communs et de clichés qu’à l’iconographie de l'adolescence post internet. Plus d'infos